Être jardinier et cuisinier vont souvent de pair, ce qui peut sembler logique quand il s’agit du plaisir de goûter à ce que l’on cultive dans son jardin. Les cuisiniers et les jardiniers chevronnés le savent maintenant, mais parlons quand même : les fleurs sauvages et les plantes sont cuites !
La palette de fleurs comestibles du jardin.
Les fleurs comestibles sont nombreuses et offrent des arômes raffinés connus de longue date : capucine, bleuet, violette, borgeana, glycine, dahlia… Elles ont souvent des vertus nutritionnelles (riches en vitamines et antioxydants) et des vertus intéressantes. Médicaments (contre le rhume, la dépression ou pour faciliter la digestion…).
Au rythme des saisons, vous pourrez apprécier violettes, primevères, pensées, coucous au printemps puis, en été, on découvre claveaux, hibiscus, lavande et œillets, avant de voir arriver asters, chrysanthèmes ou dahlias. Alors que l’hiver réservera aussi quelques fleurs comme le camélia ou le mimosa dans le sud de la France ! N’oubliez pas FLORE de vos plantes aromatiques ou des fleurs de vos légumes (courgettes, choux…).
Si vous cuisinez des fleurs, ne vous y trompez pas, elles ne sont pas toutes douces et sucrées, mais elles offrent un panel de sensations : capiteux, acidulé, sucré, épicé, épicé, anisé, exotique, noisette. iodé et amer
Pour joindre l’utile à l’agréable, vous pouvez inviter les fleurs au jardin ou les intégrer dans la mesure où la compagnie des deux est plutôt bénéfique pour la lutte antiparasitaire et pour une esthétique plus colorée. Par exemple, la bourrache protège le chou du piédestal et tue les limaces, la lavande repousse les insectes, les soucis et les soucis tuent les nématodes, etc.
Les plantes sauvages comestibles les plus courantes.
Parmi les plantes sauvages comestibles, beaucoup sont bien connues comme le plantain, le persil, l’ail des ours, le lierre terrestre (et non grimpant), la menthe, l’amarante, etc.
Mieux vaut se limiter aux plus connus qui ne peuvent pas être confondus avec d’autres toxiques, comme les ombellifères par exemple. En cas de doute, ne vous lancez pas et ne demandez pas conseil à un herboriste.
Une soupe de jeunes orties, une salade crétoise à la compote croquante, un pesto à l’ail des ours, un sirop de menthe sauvage, une salade de pissenlits à l’œuf à la coque… eh bien, de nombreuses recettes aux herbes sauvages existent très facilement. être reconnu!
Conseils pour la préparation de fleurs et plantes sauvages.
Soyez prudent et ne mettez dans la cuisine que des plantes dont vous êtes certain qu’elles sont comestibles, d’une part, et à l’écart des zones de circulation, sans engrais chimiques ni pesticides, d’autre part.
Vous pouvez acheter des produits biologiques séchés et des magasins d’herbes aromatiques, mais vous pouvez également consulter les producteurs biologiques de votre marché qui peuvent avoir des produits frais en saison.
Procurez-vous un livre sur les plantes avant de commencer cuisine car certaines fleurs sont toxiques ou mortelles.