Planter au fur et à mesure est la meilleure façon de planter des semis à l’extérieur après le semis en semis et le semis en rangées. La technique n’est pas si simple car pour que le semis soit régulier, ni trop dense ni trop net, il faut maîtriser parfaitement le fameux geste du semeur, comme le montre « La Semeuse » d’Oscar Roty de 1887, qui orna ultérieurement. pièces de monnaie et timbres…
Quelles espèces sont semées à la volée ?
Le semis en déplacement s’effectue entre mars et octobre, sur des superficies assez vastes, sinon il n’est pas adapté, ou sur des terrains inaccessibles aux véhicules. De ce fait, semez par exemple votre pelouse et votre prairie au fur et à mesure. Si vous comptez recouvrir une partie du jardin d’engrais vert, vous pouvez semer, en automne ou au printemps, de la moutarde, des pois, de la phacélie, etc.
En bordure du jardin d’ornement, certaines espèces annuelles froides peuvent être semées sur le pouce (nigelle, coquelicot, centaurée, orlaya…), ainsi que des bisannuelles que vous disperserez à la fin de l’été (fleur de lotus, vipérine). ..).
Préparez vos graines dans un bac qui pend à vous : il peut s’agir de mélanges, notamment pour les engrais verts. Il faut plus de graines pour le semis à la volée que pour semis mécanique : environ 2,5 kg de graines pour 100 m².
La technique du semis en déplacement.
Le semis par piétinement se fait sur un terrain bien préparé avec des grappins et des grelinettes pour briser les gros grains et arracher les mauvaises herbes. Ceux-ci seront ramassés avec un râteau qui servira également à niveler le sol. Vous pouvez aussi faire du bon compost pourri que vous enfouissez un peu avec votre griffe avant de niveler.
Comme pour tous les semis en pleine terre, il est préférable d’attendre que le sol se réchauffe pour semer au fur et à mesure, cela augmentera vos chances de réussite en termes de bonne germination des graines.
Mais la principale exigence du semis en cours de route est le geste, ce geste ancien, large et majestueux qui demande beaucoup de pratique avant de pouvoir être maîtrisé comme nos ancêtres qui semaient des hectares.
Idéalement, ayant le bac à graines en bandoulière, la main droite du « semeur » prend une poignée de graines, s’élève jusqu’au niveau de la poitrine et disperse les graines sous la pluie en effectuant un geste d’arc qui part de l’arc. L’épaule gauche se termine sur le côté droit du buste. Le tronc doit être droit et marcher régulièrement, avec un parfait accord entre les jambes et les bras : la jambe gauche avancée avec la main droite « ensemencée » sur l’épaule gauche, puis la jambe droite avec la graine étendue. Cela donne normalement un semis de 3 m de large, induisant un pas de semis en lignes espacées d’environ 3 m (un peu moins pour assurer un joint serré, voire recouvrant légèrement la bande semée en dessous). Dans le cas des gauchers, la synchronisation jambe/bras est évidemment inversée.
Pour recouvrir légèrement les graines, vous ratisserez, mais sachez que semer au fur et à mesure est fait pour les graines, souvent petites, qui germeront en surface. Ladyz avec le dos du râteau, ou roulez selon la surface à traiter.
Arrosez avec de légères pluies car cette technique de plantation nécessite la plupart du temps de l’humidité immédiatement après la plantation.
Surveillez l’aspect, l’absence d’escargots et le maintien d’une bonne humidité. Si vous avez trop planté, notamment des fleurs, il faudra procéder à un éclaircissage.
(crédits – photo 1 : wiki et photo 2 : Xavier Mathias)
Questions fréquemment posées –
Techniques de semis (tube) Semis par inoculation ou agitation : A l’aide d’une anse bactériologique stérilisée, on prélève une quantité de l’inoculum, l’insère au centre du milieu liquide, en agitant, sans toucher la paroi du tube. Ensemencement en stries (en tubes de gélose inclinés) : Échantillonner le matériel dans une anse d’ensemencement, une lame en zigzag, …
Semé par inoculation ou agitation : A l’aide d’une anse bactériologique stérilisée, on prélève une quantité d’inoculum, introduite au centre du milieu liquide, en agitant, sans toucher la paroi du tube. Ensemencement en stries (dans des tubes de gélose inclinés) : échantillonnez le matériau dans une boucle d’ensemencement, glissez en zigzag, commencez par la surface la plus profonde.
Semé. une culture microbienne, pour son développement et sa multiplication. température adaptée à la croissance. Les règles de base pour le classement exigent : Vous travaillez à partir de n’importe quel tirage. Si possible, utiliser un flux plus léger ou laminaire.
L’ensemencement massif peut également se faire avec un coton-tige épais imbibé d’une culture liquide, en le glissant sur toute la surface d’une plaque de gélose. C’est la méthode la plus simple et la plus utilisée pour obtenir des cultures axéniques.